lundi 22 août 2011

Coté mecs, j'aime bien...

Les mecs bien bronzés et assez imberbes (tout le contraire de moi quoi), avec un peu de muscle mais pas trop. Les poils je ne suis pas contre à certains endroits essentiels bien sûr (je trouve le côté rasé de partout tout aussi perturbant) mais je n'aime pas qu'il y ait des poils partout. Pour moi, il y a des endroits je ne sais pas moi comme le dos ou les épaules où ils n'ont rien à faire là, enfin c'est mon avis.

 Enfin je dis ça, mais comme toujours avec moi, j'édicte des règles que je finis toujours par briser. Une fois j'ai rencontré un mec qui était blanc comme un cachet d'aspirine et qui m'a fait un effet boeuf, rien que de lui serrer la main, j'ai ressenti un courant me traverser tout le corps, je n'avais jamais connu ça. Alors je l'ai évité comme la peste.

Autre contradiction chez moi, lorsque je me sens en danger (comme quand je sens qu'un mec pourrait faire de moi tout ce qu'il veut et plus encore), je l'évite à tout prix par auto-défense, il faut absolument que je travaille là-dessus car ça commence sérieusement à me gâcher la vie. Je n’aime pas trop non plus, les mecs efféminés. Comme je n’ai toujours pas fait mon coming-out et que je n’ai nullement l’intention de le faire d’ici les 30 ou 40 prochaines années (je reviendrais sur mes raisons plus tard dans ce blog, sans doute), je me vois mal m’afficher avec un transexuel ou une drag-queen ou quelqu’un de très maniéré en général Je n’ai rien contre ils ou elles, au contraire, il n’y a pas plus tolérant que moi, mais dans la vie, ma philosophie a toujours été : pour vivre heureux, vivons caché. C’est vrai, après tout il ne faut pas oublier que les casseurs de pédé, ça existe toujours hélas et l’intolérance aussi.

Et je reste persuadé que même dans d’autres domaines comme l’argent par exemple, si l’on s’affiche comme étant très riche ou super heureux, c’est à coup sûr un coup à vous attirer tout un tas d’emmerdes, alors autant l’éviter le plus possible non ? Par contre, je n’ai rien contre les hommes d’expérience. Je ne fais pas de jeunisme. Mon dernier petit ami avait 47 ans (et je reste encore très attaché à lui, même si notre histoire est définitivement terminée).

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